Eau bleue, eau verte, eau virtuelle ou eau grise, voici comment les reconnaître

Nous connaissons l’eau salée et l’eau douce. Mais nous ne savons généralement pas que l’eau douce se compose d’eau bleue et d’eau verte. Certains scientifiques évoquent aussi l’existence d’eau virtuelle et d’eau grise. Qu’est-ce que c’est ?

L’eau bleue est cette eau qui ruisselle sur la surface de la terre comme celles des rivières et des lacs. L’eau bleue c’est aussi l’eau contenue dans les nappes phréatiques et des aquifères.  Cette eau est donc visible est utilisées dans nos activités quotidiennes.

L’eau verte, quant à elle, est celle qui est stockée par le sol. Elle se trouve aussi dans les végétaux composant la biomasse. Elle peut être évaporée par les sols, ou absorbée puis évapotranspirée par les plantes. (Evapotranspiration est l’émission de vapeur d’eau dans l’atmosphère depuis le sol et la surface des végétaux). L’eau verte est la plus importante en matière de flux d’eau douce.

Il faut savoir que cette distinction entre les différentes eaux proposée en 1995 par l’hydrologue suédoise Malin Falkenmark est importante car elle permet de comprendre l’importance de protéger ce bien de l’humanité. On sait désormais que 60% des précipitations dans le monde sont générées par l’évapotranspiration de la biomasse ou des végétaux. Plus on s’éloigne des mers et des océans, le taux est plus important.

Les études scientifiques démontrent de plus en plus l’interaction existant entre l’eau bleue et l’eau verte. En effet pour avoir plus d’eau bleue, il faut plus d’eau verte, car, à titre d’exemple, le rechargement des aquifères passe par les racines pivots des arbres qui absorbent l’eau bleue et qui la filtrent directement dans les nappes phréatiques.

Enfin, il existe aussi l’eau virtuelle, une terminologie née en 2002 à la mise au point de l’indice Empreinte eau (Water footprint) mesurant la quantité d’eau consommée lors du processus de production d’un produit. L’eau grise est donc cette eau polluée par ce processus ainsi que celle diluée l’eau usée et rejetée pour la rendre utilisable.

Par La rédaction de Tiwizi info

Dessalement d’eau de mer : 60% du besoin national à l’horizon 2030

Avec 25 stations de dessalement d’eau de mer, l’Algérie occupe la première place sur le continent africain en matière de cette technologie pilotée par Algerian Energie Company (AEC) filiale du groupe Sonatrach. Avec une production national estimée à 3,7 millions m3/jour après la réception durant l’année 2025 en cours de 5 nouvelles stations à El Tarf, Béjaïa, Boumerdès, Tipaza et Oran. Dotées d’une capacité de production de 300.000 m3/jour chacune ces 5 nouvelles stations permettront d’alimenter 15 millions d’algériens. Ce qui fera passe le taux d’utilisation d’eau dessalée de 18 % à 42 % de la demande nationale en eau potable. A l’horizon 2030, l’Algérie prévoit la réalisation de sept nouvelles stations pour faire passer les capacités de production d’eau dessalée à 5,5 millions de m3/jour soit 60% du besoin national en eau potable.

Il faut savoir par ailleurs que le dessalement de l’eau de mer, appelé également dessalage ou désalinisation, est le processus permettant d’obtenir de l’eau douce, c’est-à-dire, potable à partir d’une eau saumâtre ou salée dont notamment l’eau de mer. Cette technique représente une alternative à court et à long terme et permet de relever le défi de réaliser l’autosuffisance nationale en eau potable dans un monde où la disponibilité en eau potable n’est pas égale d’une région du monde à une autre. « Dix pays se partagent 60% des réserves, alors que 29 autres essentiellement en Afrique et au Moyen Orient font régulièrement face à des pénuries », explique sur son site le ministère de l’Energie, des Mines et des Energies renouvelables.

Par La rédaction de Tiwizi info

Guerres de l’eau: plus de 831 conflits violents signalés dans le monde depuis 2010

L’eau, c’est la vie. Mais elle peut aussi être source de conflits si elle venait à se raréfier.

Les sécheresses, dans le passé, le réchauffement climatique des dernières décennies en ont en effet fait une cause de litiges plus ou moins grands entre communautés et pays. Souvent, le caractère transnational et trans-éthnique des ressources d’eau en surface comme les grands fleuves et les réserves phréatiques sont au milieu de tiraillements sournois mais qui éclatent à des occasions.

Il faut savoir d’abord que les conflits pour les ressources d’eau ne datent pas de ce 21ème siècle. Il y près de 2 600 ans dans la Mésopotamie, Lagash et Umma sont deux cités-États voisines du pays de Sumer. Les premières inscriptions à caractère historique ont dès le début de leur apparition fait mention de conflits entre ces deux cités voisines et situées sur une branche du réseau fluvial parcourant le pays de Sumer à cette époque.

Un territoire, espace agricole irrigué situé à la frontière des deux cités était au centre de plusieurs conflits. Le contrôle, par Umma, de ce territoire assurait sa domination qui est toujours contestée par Lagash pour empêcher son voisin du nord de s’assurait le contrôle des eaux coulant vers son royaume.

Aujourd’hui, le monde a évolué mais les conflits n’ont pas cessé. Les dernières statistiques publiées dans sa base de données « Water Conflict Chronology » par le centre américain de recherches, Pacific Institut, font état de quelque 831 conflits violents liés à l’eau depuis 2010 dans le monde. L’Asie et l’Afrique sont les territoires où se concentrent la majorité des conflits. Des exemples de ces conflits violents sont nombreux. L’institut américain cite ainsi le violent conflit de frontière entre le Tajikistan et le Kyrgystan en 2021 sur le contrôle d’un canal et d’une zone de pompage sur la rivière Isfara. Plus de 200 morts et 21 blessés ont été déplorés.

En Afrique, le projet du Méga barrage de la Renaissance est la source de conflit la plus connue du 21ème siècle. Ce barrage en projet en amont du Nil oppose l’Egypte et l’Ethiopie. Les conflits les plus récents sont entre autre celui de 2024 signalé suite un lâcher d’eau en Ukraine sous les ordres des autorités ukrainiennes sur un barrage au nord de Kiev afin de retarder l’avancée de l’armée russe sur la capitale ukrainienne. Le lâché a été suivi de la destruction du barrage par les troupes russes.

Enfin, l’Institut américain recommande des solutions pour apaiser les tensions dans les années et les décennies à venir. Afin d’éviter des conflits et des guerres, il est en effet préconisé de lier les pays partageant les ressources d’eau par des partenariats de nature diverse.

Par La rédaction de Tiwizi info

Le barrage de Taksebt : un taux de remplissage meilleur qu’en 2023 et 2022 à la même période de février

Le barrage de Taksebt : un taux de remplissage meilleur qu’en 2023 et 2022

Les experts observent une remontée du niveau du barrage de Taksebt d’environ 1,5 m avec les pluies du 28 janvier 2025 au 6 Février 2025 ayant permis une réserve de 4 millions de m3 en plus. Le taux de remplissage est désormais de 35% sans compter les quantités distribué. Un niveau atteint grâce à la fonte de la neige cumulée sur les hauteurs du Djurdjura et le pompage à partir du Sebaou. Ses statistiques montrent en fait qu’en comparaison avec le mois de février 2024 à la même date, le niveau est plus haut en 2025 avec 11 mètres et 25 millions de m3 en plus.

On est aussi plus haut qu’en février 2023 et février 2022 à la même date.

Cette année donc, avec les dernières pluies et surtout les neiges accumulées sur les hauteurs du Djurdjura, le cumule d’eau emmagasiné a rapidement augmenté. Les 55 millions de mètres cubes ont été atteints en l’espace de quelques jours grâce à la fonte de ces neiges. Il faut savoir que l’épaisseur de la neige est, le 24 janvier 2025, entre 60 cm et 1,2m sur les plateaux de Haizer à partir de 1900m, selon M. Abdeslam qui indique que le totalisateur Nivo-Pluviomètre installé en 1952 a été réactivé en 1988 par Larbi Ait Maamar de l’ANRH et Malek Abdesselam. Cet équipement se trouve sur le plateau de l’Haizer à 1930m, un autre à 1600m, et 6 autres (3 à Tirouda, 2 à l’Akouker, 1 à Tizi N’Kouilal.

Il faut savoir aussi que ce cumul qui rend optimistes les populations quant à l’alimentation en eau potable ces dernières années pourrait être plus grand si la station de transfert des eaux du Sébaou vers le barrage de Taksebt n’était pas tombée en panne au mauvais moment. Cette dernière a en effet cessé de fonctionner après les pluies diluviennes tombées en l’espace de quelques jours seulement. Ce qui a causé son émersion. Le wali de Tizi-Ouzou qui était sur place ce dimanche a donné de fermes instructions pour que l’infrastructure soit fonctionnelle en fin de semaine, c’est-à-dire jeudi ou vendredi.

Notons par ailleurs que cette station a été d’une grande utilité depuis sa mise en marche en 2023. D’une capacité de transfert de 270 000 mètres cubes par jour, elle a pu récupérer une bonne partie des eaux de l’Oued Sébaou qui devaient rejoindre la mer. Aussi, pour plus d’efficacité, les experts préconisent la multiplication de ces infrastructures tout le long de l’Oued Sébaou afin de récupérer le maximum d’eau. Toutefois, ces derniers relativisent quant au coût de ces stations qui devront être doté de matériel de pompage plus grand étant donné qu’elles seront situées à des niveaux plus bas que la surface sur laquelle se trouve le barrage de Taksebt.

Par La rédaction de Tiwizi info

Sécheresses et changements climatiques

300 milliards de dollars : voilà ce que les pays riches promettent aux pays pauvres

Lors de la COP29 tenue en novembre 2024 à Bakou en Azerbaïdjan, les pays du Sud ont demandé 1 300 milliards de dollars pour s’adapter au changement climatique. Les pays riches n’ont promis que 300 milliards. Une promesse qui a déçu les participants du côté Sud de la planète dont la majorité souffre de l’impact du réchauffement climatique et l’un de ses corollaires, la pénurie d’eau potable. Dans ce tourbillon de manque d’eau, les populations des pays de la région du Sahel sont celles qui souffrent le plus.

Des statistiques publiées en 2023 par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) font en effet ressortir qu’environ que l’accès à l’eau potable est inexistant pour environ 40 % de la population africaine. Dans le même document, la FAO mentionne que l’Afrique subsaharienne comme la région la plus impactée avec un total démographique dépassant les 300 millions d’habitants dépourvus d’accès à une eau de qualité. Dans la région du Sahel, les choses sont plus graves, relève le document où il est fait savoir que la situation est plus critique du fait que les populations vivent principalement de l’activité agricole et d’élevage. Ce qui en fait une population directement impactée par le manque d’eau en particulier et aux changements climatiques en général.

Par La rédaction de Tiwizi info

15 millions de m3 dans le barrage de Taksebt grâce à la fonte des neiges du Djurdjura

La fonte des neiges tombées ces derniers jours sur les hauteurs du Djurdjura font le bonheur du barrage de Taksebt et des populations qui y sont raccordées. Depuis Yennayer le 12/1/25 le Niveau est monté de + 6m et le Volume a augmenté de 15 millions de m3, soit 30% ou 50 millions de m3 d’eau. C’est pratiquement le double du volume de l’an dernier (mi-janvier 2024), affirme M. Malek Abdeslam, hydrologue et enseignants à l’université de Tizi-Ouzou. Ce dernier explique que les dernières pluies et la fonte des neige a permis l’augmentation du niveau de remplissage de 8 mètres. M. Abdeslam estime ce débit au double par rapport à la même période de l’année précédente.

Ce grand débit en eau de fonte rapide des neiges est en partie récupéré mais il aurait pu être plus conséquent. Deux empêchement majeurs interviennent et favorisent de grandes pertes d’eau qui se déversent dans la mer. D’abord, il faut savoir que la fonte des neiges se fait plus rapidement à cause du réchauffement climatique. Les températures qui ont suivi la période d’enneigement sont plus élevées. Ce qui fait que la fonte se produit plus rapidement. Outre cet inconvénient, il y a lieu de souligner que la station de transfert qui joue d’ailleurs un très grand rôle est insuffisante pour réorienter tous ce débit vers le barrage de Taksebt.

Cette station est d’une très grande importance dans le maintien du débit du barrage de Taksebt mais ses capacités sont insuffisantes pour récupérer toutes les eaux de fontes pour deux raisons principales.  Il faut savoir d’abord que celle-ci se trouve à Oued Aïssi. Ce qui fait qu’elle ne peut transférer qu’une partie des eaux des affluents du Sébaou situés sur son flanc Sud. Le reste, situé plus au Nord De Timizart Loghbar jusqu’à Déllys ne peut couler que ers la mer. L’autre raison objectif est que la capacité de transfert de cette station n’est que de 270 000 m3/jour. Une capacité largement insuffisante pour transférer un débit estimé en dizaines de millions de mètres cube par jours découlant de la fonte des neiges et des pluies.  

Par La rédaction de Tiwizi info

Huile d’olive : vers la hausse de l’offre mondiale en 2025

Après une décrue qui duré deux années, l’offre d’huile d’olive devra connaître une hausse de 30%, selon les prévisions du Conseil oléicole international (OIC) et le Département américain de l’agriculture (USDA). Toutefois, si les deux organismes s’accordent sur la tendance haussière en perspective, ils ne sont pas sur la même longueur d’onde au chapitre de l’acuité de cette hausse de l’offre. Si l’OIC prévoit une hausse de la production de 30% avec 3,35 millions de tonnes pour la récolte de 2024-2025, l’USDA ne table que sur une hausse de 27% avec 3,1 millions de tonnes.

Du côté de l’outre Atlantique, on estime que c’est dû la reprise de la production en Espagne, particulièrement, portant dans son sillage à la hausse la production dans l’espace européen à quelque 2 millions de tonnes après 1,5 million l’année passée. Toutefois, l’USDA s’attend à la persistance de la tension sur les prix malgré la hausse de la production du fait que les stocks resteront fébriles en début de l’année 2025 à cause de la faiblesse de la production des deux années précédentes sous l’effet de la sécheresse.

L’évolution des marchés mondiaux connaîtra une forte demande à partir du mois de décembre 2024, estime l’USDA et l’OCI, du fait de la hausse de la consommation estimé à 17%. Ce qui ne devrait, toutefois, pas se répercuter sur les prix qui resteront encore en hausse jusqu’à la reconstitution des stocks mondiaux vidés par les années de sécheresse. De son côté, la plateforme Ycharts indique que les prix resteront dans la hausse malgré la légère baisse qui a suivi le pic de janvier et février 2024 qui ont vu les tarifs atteindre 10 281 dollars la tonne en janvier et 10 067 dollars la tonne en février.

Notons enfin que les prévisions à l’international tablent sur des prix toujours supérieurs à à 8 500 dollars en fin 2024. Sur le plan de la consommation, les tarifs de l’huile d’olive à l’international sont en légère baisse depuis l’été. Le litre d’huile d’olive est cédé en début de ce mois de novembre à 5,92 euros après 7,5 euros le litre au mois de septembre 2024. Ce qui indique que les prix appliqués en Algérie actuellement sont alignés à ce barème international avec une moyenne de 1 200 DA/L en ce mois de novembre.

Par La rédaction de Tiwizi info

L’importation de certaines matières premières n’est plus interdite

L’importation des matières premières utilisées dans les industries vitales ne sera plus interdite.  Plusieurs secteurs sont concernés à l’instar de l’industrie agroalimentaire qui utilise des intrants importés. Cette décision a été prise lors du dernier Conseil des ministres qui a émis un communiqué dont l’APS détient une copie et où il était précisé que le président de la République, Abdelmadjid Tebboune a affirmé que « l’Algérie n’avait jamais interdit et n’interdira pas l’importation, ajoutant qu’elle y recourait seulement si besoin est, dans le but de promouvoir la production nationale et de protéger ses réserves financières, ce qui est à même de conforter son économie et de préserver sa stabilité ».

Par La rédaction de Tiwizi info

Vers l’application rapide des OQTF (Obligation de quitter le territoire français)

Le ministre de l’Intérieur français, Bruno Retailleau compte accélérer l’application des Obligations de quitter le territoire français (OQTF) dans les prochains jours.

Pour se faire, il entame tout un travail qui commence par la convocation de 21 préfets des départements les plus concernés par les mesures d’expulsions. Le ministre veut asseoir d’autres règles concernant les expulsions reposant depuis 2012 sur la circulaire Valls permettant la régularisation de 30 000 immigrés chaque année.

De leur côté, les préfets ont soulevé plusieurs difficultés relatives justement aux procédures d’expulsion à l’instar de l’absence du caractère suspensif lors des appels sur les décisions des juges ou encore les dépenses consenties sur l’immigration clandestine dans notamment les hébergements d’urgence. Bruno Retailleau promet des propositions dans une semaine. Réduire le nombre d’interventions des juges lors des procédures d’expulsion et procéder à des discussions avec les pays d’origine semblent être les actions favorites du nouvel exécutif.

Il faut ainsi s’interroger sur l’impact de ce durcissement des mesures sur les algériens. Il faut rappeler que le cas des algériens est particulier du fait des accords de 1968 signés entre le gouvernement algérien et le gouvernement français donnant aux émigrés algériens un statut particulier par rapport au reste des ressortissants des autres pays. Il ne faut non plus pas ignorer que la question est d’une très grande importance pour les français qui réclament de la sécurité. Ces derniers jours, l’affaire de la petite Philippine dont le suspect de son meurtre est une personne frappée d’une OQTF occupe l’actualité en France.  

Par La rédaction de Tiwizi info

Le prix Nobel de physique 2024 décerné aux chercheurs John Hopfield et Geoffrey Hinton

Le chercheur américain John Hopfield et le chercheur de nationalité britannique et canadienne Geoffrey Hinton ont reçu hier mardi 8 octobre la plus prestigieuse distinction scientifique, le prix Nobel de Physique de l’année 2024. Le prix leur a été décerné pour leurs travaux sur l’apprentissage automatique. Un savoir de pointe utilisé dans le développement de l’intelligence artificielle.

John Hopfield et Geoffrey Hinton ont « utilisé des outils de la physique pour développer des méthodes qui sont à la base des puissants systèmes d’apprentissage automatique d’aujourd’hui »,indiquait, dans un communiqué, le Jury du prix Nobel. Pour sa part, Ellen Moons, présidente du comité Nobel de physique, affirmait, à la presse que les deux chercheurs ont utilisé des concepts fondamentaux de la physique statistique afin de concevoir des réseaux de neurones artificiels fonctionnant comme des mémoires associatives et trouvant des modèles dans de grands ensembles de données.

Il faut savoir que les deux scientifiques sont à l’œuvre depuis les années 80 pour comprendre les mécanismes de l’apprentissage automatique. Agé de 76 ans, le chercheur de nationalités britannique et canadienne enseigne et fait ses recherches à l’université de Toronto au Canada.  Pour sa part, le chercheur américain John Hopfield, âgé 91 printemps, enseigne à l’université de Princeton aux Etats-Unis.

Par La rédaction de Tiwizi info